C’est un moyen de recréer du lien avec le client.
"La première raison qui est sans doute la plus importante est la complémentarité des canaux. Pour les magasins, le fait de pouvoir toucher, essayer, tester les produits reste dans toutes les études une priorité absolue que ne peut offrir le e-commerce", explique Frank Rosenthal, expert en marketing du commerce. Si certains se cantonnent aux boutiques éphémères, ou pop-up store, comme Amazon ou Balsamik, d’autres optent pour une structure physique pérenne, fondant ainsi des espoirs à long terme. "Il y a 10 ans, les financiers exigeaient des réseaux de magasins qu'ils ouvrent des sites web ; aujourd'hui, ils demandent aux pure players d'ouvrir des magasins, ça les rassure sur la stabilité des modèles économiques", analyse de son côté Cédric Ducrocq, PDG du Groupe Dia-Mart.
Loin d’être un retour en arrière, ces différentes ouvertures semblent remettre le physique au cœur de la stratégie commerciale.
LSA et @OpenClair.
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