L’e-réputation ne se limite pas aux marques :
Il serait trop simpliste de penser que l’e-réputation se limite aux entreprises et aux marques. Nous avons tous intérêt à surveiller notre présence sur le web. En effet, de nombreux recruteurs recherchent sur les réseaux sociaux les profils des candidats. Il serait dommage de se priver d’un emploi rêvé à cause d’une photo maladroite sur Facebook ou d’un commentaire déplacé sur Twitter. A l’inverse, une image soignée sur les réseaux sociaux (en particulier LinkedIn) peut jouer en votre faveur.
Une application pour avoir une bonne E-réputation
L'importance de votre e-réputation
Une nouvelle donne pour le commerce avec un mix de vente en magasin physique et sur le web
C’est un moyen de recréer du lien avec le client. "La première raison qui est sans doute la plus importante est la complémentarité des ...
mardi 26 juin 2018
lundi 25 juin 2018
Bien choisir son/ses réseaux sociaux et adapter son discours
Gérer sa présence sur un réseau social demande du temps et de l’engagement. Il est donc inutile de vous lancer corps et âme sur tous les réseaux ; mieux vaut les choisir en fonction de vos besoins pour y être actif et réactif.
Adaptez votre discours aux spécificités de chaque média social : son contenu, ses utilisateurs, sa nature (média de relation ou média d’information).
- Facebook : pour interagir et rester proche de votre communauté
- Partager votre activité locale
- Etre visible et accessible
- Interagir avec vos fans
- Détecter des opportunités
- Twitter : pour mettre en place un bon support de SAV
- LinkedIn : pour développer ses relations professionnelles
- Créer votre identité virtuelle professionnelle
- Développer un réseau de professionnels qualifiés
Pensez à définir une ligne éditoriale, spécifiant le ton et les contenus à diffuser, en accord avec la cible, le média et le discours de votre entreprise.
mercredi 13 juin 2018
E-commerce transfrontière, s'adapter pour faire la différence
L'avenir du e-commerce se conjugue de plus en plus à l'international : en s'étendant hors de leurs frontières, en visant les clientèles d'autres pays, les vendeurs en ligne s'ouvrent de formidables opportunités de croissance. A condition de répondre à certains défis : adapter son site web, son offre, son service client... et être très performant sur la livraison.
lundi 11 juin 2018
Pourquoi tout le monde devrait travailler sa e-réputation?
La nécessité de travailler sa e-réputation concerne surtout les professionnels et les marques, mais pas seulement: les individus n’en sont pas dispensés.
Warren Buffet avait cette phrase: «Il faut 20 ans pour bâtir une réputation, mais seulement cinq minutes pour l’anéantir». Cela n’a jamais été aussi vrai qu’aujourd’hui, dans notre monde ultra-connecté. Et pour cause: de simples avis négatifs postés sur le Web peuvent dissuader jusqu’à 96 % des internautes de s’intéresser à un produit ou un service… Internet peut être un puissant levier de popularité, mais il ne fait de cadeau à personne. C’est pourquoi travailler sa e-réputation est indispensable: si vous ne vous emparez pas du sujet, c’est le sujet qui viendra à vous. Et tout le monde est concerné: les entreprises aussi bien que les individus!
mercredi 6 juin 2018
UNE APPLI POUR TRADUIRE LES MENUS DANS LES RESTAURANTS
Une start-up Franco-Suisse a lancé une application de traduction instantanée de cartes de restaurants qui permet aux touristes de savoir ce qu’ils ont dans leur assiette, grâce à un smartphone, et sans application.
Disponible en 40 langues, et même en patois local, l’application a aussi une déclinaison latine, clin d’œil à la venue du Pape fin juin. 480 restaurants en Europe l’ont adopté, une trentaine en Suisse Romande, et 5 à Genève, moyennant un abonnement de 45 francs par mois.
Cette web-application déjà primée par plusieurs prix d’innovations a aussi noué des accords avec les grands groupes hôteliers, et reverse une partie de son chiffre d’affaire établit à environ 230 000 francs annuels, à des associations ou des clubs sportifs.
Une start-up Franco-Suisse a lancé une application de traduction instantanée de cartes de restaurants qui permet aux touristes de savoir ce qu’ils ont dans leur assiette, grâce à un smartphone, et sans application.
Disponible en 40 langues, et même en patois local, l’application a aussi une déclinaison latine, clin d’œil à la venue du Pape fin juin. 480 restaurants en Europe l’ont adopté, une trentaine en Suisse Romande, et 5 à Genève, moyennant un abonnement de 45 francs par mois.
Cette web-application déjà primée par plusieurs prix d’innovations a aussi noué des accords avec les grands groupes hôteliers, et reverse une partie de son chiffre d’affaire établit à environ 230 000 francs annuels, à des associations ou des clubs sportifs.
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